Nous attendons tous 4 choses avec impatience :
Qu'est-ce que c'est ? Augmentation de salaire : 1 ou 2 périodes de paie après la signature Retropayer : 60 jours civils après la signature Cotisations d'assurance : Cela se passe en ce moment même ! Le gouvernement et le Front commun se disputent pour savoir si la cotisation ne devrait être que de 50 % pour tout enseignant travaillant moins de 75 %. La question a été temporairement résolue car la compagnie d'assurance n'a aucune idée du pourcentage du contrat d'un enseignant. Ainsi, tous les membres recevront une réduction de prime mensuelle correspondant à leur situation familiale telle qu'elle a été déclarée à iA. Ces réductions devraient entrer en vigueur le 1er juin 2024. La déduction des primes sera réexaminée en janvier 2025. Le gouvernement continue d'insister sur le seuil de cotisation. Cependant, nous payons tous l'intégralité des primes et devrions tous bénéficier d'une couverture complète, quel que soit notre statut professionnel. Compte tenu de ce qui précède, le Front commun continue de faire pression pour que l'interprétation syndicale initiale de la promesse soit maintenue. Signature !?! Oui, nous nous sommes mis d'accord sur le principe d'un accord, mais comme le souligne la question de l'assurance ci-dessus, il ne s'agit pas de tous les détails. Nos négociateurs travaillent en ce moment même sur les moindres détails. Ils vérifient chaque préposition et chaque virgule pour s'assurer qu'aucun changement sournois n'est inscrit dans le texte. Nos négociateurs de l'APEQ espèrent que la signature aura lieu au début du mois de juin, mais ils ne peuvent pas faire des promesses, la précision et nos droits étant plus importants que la rapidité pour le moment. Alors, encore une fois, quand ? Dans le meilleur des cas : Signature début juin Salaire : Mi-juin Retropayer : Fin juillet Le pire des cas : Signature fin septembre Salaire : Mi-octobre Retropayer : Fin novembre/début décembre ERREURS DANS LES PAIEMENTS DE GRÈVE Il y en a eu beaucoup. Il y en avait suffisamment pour que la commission ne les corrige pas toutes dans le délai de 40 jours prévu pour le dépôt d'un grief collectif. C'est pourquoi le SER et la quasi-totalité des syndicats locaux ont déposé un grief concernant l'équité de la gestion des indemnités de grève. Quand cela sera-t-il réglé ? Une fois que le tribunal du travail a été saisi des griefs, un juge décide si les indemnités de grève ont été appliquées de manière équitable. La commission scolaire attend cette décision avant de mettre en œuvre des solutions. Une date ? Aux dernières nouvelles, il fallait environ un an pour que les griefs soient entendus. Le dépôt d'un grief n'est pas un processus rapide. Dans cette situation, en raison de l'étendue des problèmes et de l'improbabilité d'une solution dans les 40 jours, SER n'avait pas d'autre choix que de déposer un grief. Pourquoi un délai aussi long ? Le système judiciaire n'est pas connu pour sa rapidité de résolution des affaires, quel que soit le domaine du droit. Le droit du travail n'est pas différent. C'est la raison pour laquelle les syndicats locaux, y compris SER, se concentrent tellement sur les solutions négociées au niveau local. Aussi lentes que soient ces négociations, elles sont presque toujours plus rapides que le système judiciaire. Il faut espérer qu'une solution locale sera trouvée pour cette question également. 40 jours ? Un grief doit être déposé dans les 40 jours ouvrables suivant la cause. Passé ce délai, l'affaire est réglée et le syndicat ou l'individu ne peut plus déposer de grief. S'il existe une relation non antagoniste entre un syndicat local et une commission scolaire, les problèmes peuvent être traités et réglés en dehors de ce délai.
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